L’affaire des infirmières bulgares
Publié le |
Le Conseil national du sida s’émeut en tant qu’instance d’avis et de conseil auprès des autorités publiques française de la confirmation de la condamnation à mort des soignants bulgares et palestinien.
Une quinzaine de jours avant le verdict du second procès de décembre 2006, la revue britannique Nature publiait une expertise qui démontrait, à partir d’une analyse du génome du VIH et du virus de l’hépatite C, que le virus était antérieur à la venue du personnel médical Bulgare et Palestinien.
Alors que de très nombreuses instances scientifiques internationales, 114 lauréats du prix Nobel et récemment des professionnels de santé français se sont élevés contre ce jugement sans fondement, le Conseil national du sida sollicite les autorités publiques de notre pays pour une intervention à la hauteur de l’urgence de la situation.
Sur le même thème
-
VIH et commerce du sexe : un état des lieux alarmant
A l’occasion de la journée mondiale de lutte contre le sida, le Conseil national du sida a souhaité rendre public l’avis VIH et…
Publié le
-
Réactions du Conseil national du sida sur la question du droit au séjour des…
Le projet de loi "Immigration, Intégration, Nationalité" adopté en première lecture à l’Assemblée nationale le 12 octobre 2010 a…
Publié le
-
Organisation d’une journée d’étude sur les politiques de santé des drogues et…
Le Conseil national du sida a pris connaissance de la publication en France de plusieurs expertises consacrées à la réduction des…
Publié le