L’affaire des infirmières bulgares
Publié le |
Le Conseil national du sida s’émeut en tant qu’instance d’avis et de conseil auprès des autorités publiques française de la confirmation de la condamnation à mort des soignants bulgares et palestinien.
Une quinzaine de jours avant le verdict du second procès de décembre 2006, la revue britannique Nature publiait une expertise qui démontrait, à partir d’une analyse du génome du VIH et du virus de l’hépatite C, que le virus était antérieur à la venue du personnel médical Bulgare et Palestinien.
Alors que de très nombreuses instances scientifiques internationales, 114 lauréats du prix Nobel et récemment des professionnels de santé français se sont élevés contre ce jugement sans fondement, le Conseil national du sida sollicite les autorités publiques de notre pays pour une intervention à la hauteur de l’urgence de la situation.
Sur le même thème
-
Le CNS se félicite de l’attribution du Nobel pour la découverte du VIH
Le Conseil national du sida tient à adresser ses félicitations à Françoise Barré-Sinoussi et Luc Montagnier, lauréats du prix…
Publié le
-
Risque de transmission du VIH d’un médecin à ses patients : pour une…
Dans un message d’alerte sanitaire publié le 23 septembre, la Direction générale de la Santé à invité des patientes ayant eu…
Publié le
-
Prise de position du CNS en réaction d’une communication de la Commission…
La Commission fédérale suisse pour les problèmes liés au sida (CFS), dans une communication destinée aux médecins, publiée ce…
Publié le